Par une démarche d’amélioration de la qualité de vie au travail, il a décidé de résoudre les problèmes empêchant la bonne exécution du travail : bruit, vibrations, postures fautives, etc. Il a demandé aux managers d’écouter un échantillon représentatif de salariés. Ils ont listé les éléments perturbateurs « irritants » des situations de travail et déterminé comment mettre en place une prévention choisie plutôt que subie.
Le gain est direct : le changement d’attitude des managers vis-à-vis de la sécurité et de la santé au travail a permis de maintenir les efforts mis en place et sans contrainte, et de réduire la facture des cotisations accidents du travail qui a fondu de 250 000 euros dès 2015, tout en améliorant la qualité du service de la station.